“ L’annonce de 150 emplois supplémentaires au centre d’appels est une bonne nouvelle. Lorsqu’en 2009 la Ville de Coudekerque-Branche, sous mon impulsion et avec l’aide des partenaires, a réussi à obtenir l’installation, dans des locaux laissés à l’abandon et requalifiés pour l’occasion, d’un immense centre d’appels, filiale d’un grand groupe allemand, j’entendais déjà les mauvaises langues dire : « ça ne marchera jamais ! » ”

S’il est vrai qu’à l’époque, l’habitude était de délocaliser ces emplois de l’autre côté de la Méditerranée, parier sur l’emploi tertiaire dans une région surtout industrielle était novateur. Et pourtant, aujourd’hui, cette entreprise, qui fait déjà travailler plus de 600 personnes et prévoit un plan d’embauche conséquent, est le premier employeur de la Commune.

“ C’est aussi la plus forte création d’emplois sur tout le territoire du Dunkerquois depuis ces dix dernières années ! ”

« Ça ne marchera jamais ! » est donc devenu « ça ne va pas durer ! ».

Pourtant après 10 ans ou presque d’existence et de nouveaux contrats signés, l’activité économique semble bel et bien ancrée sur notre commune. Nous sommes d’ailleurs intervenus, il y a quelques mois encore, alors qu’un contrat avec un grand opérateur national de l’énergie, qui a confié ses missions au centre d’appels du site coudekerquois, était en jeu. Nous avons porté la lutte politique au plus haut niveau pour garantir le maintien de ce contrat et des emplois à Coudekerque-Branche, pour éviter des difficultés majeures.

Cet exemple d’anticipation de la part de la Ville, puisque nous l’avions annoncé dès 2008 et l’avions réalisé une année plus tard, est un exemple parmi tant d’autres. Nous avons fait preuve très souvent d’initiatives nouvelles et, à chaque fois, nous avons ouï la même rengaine : « ça ne marchera jamais ! ».

Pourtant la Ville santé, l’écoquartier, la politique de redressement des finances communales, le cadre de vie, la tranquillité publique et l’anticipation dans nombre de domaines qui ont connu un scandale, comme les biberons en plastique ou les antennes relais, et aujourd’hui la transformation de nos cantines sont autant de cas précis.

Les faits ne mentent pas et quand on se donne les moyens, ça fonctionne !

“ N’en déplaise à ceux que l’on appelle « les y’a qu’à » ou les « faut qu’on » qui sont toujours à dégainer les « ça ne marchera pas ! », aujourd’hui une autre réalité a vu le jour : à Coudekerque-Branche ça marche plutôt pas mal. ”

 

 

 

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