Être Maire d’une ville comme Coudekerque-Branche, c’est impulser des orientations, porter avec énergie les projets et relever les défis de demain. Mais c’est aussi aller voir sur place le suivi des travaux, sillonner régulièrement sa ville pour constater de visu les dysfonctionnements, les trous d’un trottoir, l’état de la voirie, les travaux nécessaires dans tel bâtiment ou telle école, c’est veiller à l’avancement d’un chantier, s’assurer qu’un engagement pris est bien tenu.
C’est pour cela, qu’au quotidien, l’équipe municipale est mobilisée. Jamais une manifestation ou une assemblée générale sans la présence d’un élu, jamais un conseil d’école sans un interlocuteur de la municipalité pour répondre aux parents ou enseignants, jamais un mois sans permanence d’un Adjoint de quartier ou du Maire, jamais une semaine sans que le Maire ne vous informe de sa présence sur le terrain et de l’avancée de telle ou telle action pour améliorer votre quotidien.
Et que la ville de Coudekerque-Branche soit la seconde de l’agglomération n’y change rien. La proximité est dans notre ADN et vous nous le rendez bien. En effet, on parle bien de ce que l’on connaît bien, et cela s’acquiert en premier lieu par le terrain et la présence à vos côtés. Tout cela, avec le sens du travail collectif, il n’y a sans doute rien de plus contreproductif que d’imaginer tout savoir ou tout connaître seul.
C’est pour cela, que l’équipe municipale est constamment concertée et surtout que vous, chers habitants, bénéficiez d’un dispositif de concertation unique sur le littoral. De la réunion publique au Facebook live en passant par les balades urbaines, les comités de quartier ou encore les forums jeunes, il n’y a pas moins de 10 moyens différents pour vous demander votre avis à Coudekerque-Branche.
Le contact avec les réalités, consacrer du temps à la connaissance du terrain et de votre quotidien est le seul moyen de permettre aux habitants d’adhérer à la politique que mènent leurs représentants… Souhaitons qu’en cette période à venir de campagne d’élection présidentielle, les candidats d’en haut s’inspirent des méthodes de ceux d’en bas.