Alors que la situation sanitaire s’envenime de nouveau, il faut chaque jour se retrousser les manches pour maintenir au mieux quelques animations en ville tout en étant obligé, au regard de la réglementation en vigueur, d’en annuler d’autres, comme le carnaval par exemple à l’échelle de toute l’agglomération.
Quand les premières répercussions économiques et sociales de cette crise sanitaire sans précédent commencent à toucher les populations et il nous faut revoir à la hausse le budget de la solidarité…
“Le couvre-feu de l’État sur un territoire n’est pas une mesure anodine, comptez sur moi pour vous accompagner au mieux durant ces semaines.”
Quand après avoir fait un travail extrêmement détaillé au niveau du budget afin de réussir à endiguer les 800 000 euros de dépenses liées à la Covid-19 sans toucher aux services aux habitants.
Quand il nous faut trouver de plus en plus d’argent sur le budget communal pour la deuxième vague bien présente désormais… En un mot, comme le dit cette expression un petit peu triviale :
“quand on rentre dans le dur, chaque décision que je dois prendre est motivée par la seule boussole de prendre soin de vous, de chaque Coudekerquois du plus jeune âge à nos seniors.”
Bien qu’habitué désormais à cela, ce climat, de plus en plus anxiogène, a été renforcé par les terribles évènements de Conflans-Sainte-Honorine que je condamne bien évidemment, d’autant plus que je connais, au regard de mon passé professionnel, très bien le monde enseignant.
Toucher à l’école, c’est toucher au fondement même de notre République.
“Il nous faut voir la réalité telle qu’elle est et non pas comme l’on voudrait qu’elle soit.”
Les maires, grands défenseurs de l’esprit républicain, dénoncent depuis longtemps la complaisance des réseaux sociaux et d’internet qui véhiculent de plus en plus mensonges, incitations à la haine et à la violence.
“Notre belle devise : Liberté, Égalité, Fraternité ne vaut que si nous sommes intransigeants avec ceux qui la bafouent.”
Prenez soins de vous et de vos proches